kickstarter pour l’album “le pire de Degoreland 20 ans après” pièce maîtresse de l’underground marseillais
Degoreland a été ma première incursion dans le monde de la musique “scénique” (je m’essayais déjà à l’électronique, dans les “démos amiga” à l’époque). Du punk français de qualité, avec d’excellents textes poétiques.
Steve (avec la collaboration de tous les membres de degoreland de l’époque) a réalisé une compilation des meilleurs morceaux de cette époque.
Alors, oui, le son est pourri et on savait pas jouer… mais on avait 20 ans et on enregistrait ça dans notre cave sur des enregistreurs à cassettes… Jess décline toute responsabilité concernant le son.
Sortie officielle (si le kickstarter arrive à son terme) : 17 Février 2018
cliquez ici pour contribuer : Lien vers le kickstarter
Avec le morceau “Et j’attends” en avant-première 20 ans après à cette adresse :
! Nouveau 28 01 2018 !
Nouvel extrait en écoute :
Nouveaux extraits le 9/02
Vous pouvez contribuer à la naissance de ce CD de cette manière :
- 5e pour la version mp3
- 10e pour la version CD
Production, mastering par Steve.
TV Show
Description du kickstarter
Voici un résumé de la description telle que vous pouvez la trouver sur la page du kickstarter (écrite par Steve) :
Degoreland était un groupe de punk rock underground marseillais dans tous les sens du terme. Nous étions de jeunes musiciens avec une cave et l’envie de jouer. Nous avons acheté nos instruments , appris à jouer et enregistrer ensemble. Cela a duré de 1995 à 1998 d’abord à 4 puis en trio, puis en duo… Jérémy a poursuivi dans l’écriture et le théàtre, Jess fait de la musique électronique, Alain joue peut être encore pour son plaisir personnel, mystère ? J’ai poursuivi l’aventure avec Ecran Total et maintenant Shun & his happy Family.
Le cd ne verra le jour que gràce à vous, j’ai engagé du temps pour faire le mastering, numérisation des k7, DAT et autres supports d’époque, j’ai également payé un graphiste pour réaliser la pochette et contacté les anciens membres pour participer à l’aventure ! Sans subvention, sans buzz, je n’ai jamais eu de succès commercial mais une vague reconnaissance de la critique musicale indépendante, celle qui va dans les concerts et qui voit les groupes en vrai. Je fais cela pour ceux qui sont restés mes potes et comme témoignage socio historique de la vitalité de la scène underground marseillaise.